Last night I was so alone
My baby had left me on my own
I tried to commit suicide
But a priest convinced me not to die
He told me "If your momma's gone away
Why don't you go to the church and pray ?"
Jesus was a rock'n'roll star
He'll teach you how to play guitar
And if you listen to saint Paul
He will show you how to rock'n'roll...
So when I entered the house of God
Music came to me as a flood
The rythme rushed then in my blood
I said "Oh, that's the way to praise the Lord !"
And my feet were tapping and my hands were clapping
Mary was dancing and the angels were singing
Jesus was a rock'n'roll star
He'll teach you how to play guitar
And if you bless the Lord with your soul
He will show you how to rock'n'roll...
I stayed to praise Him all the night
I put a flower on his cross
But when I had to leave the Big Boss
Satan were there and wanted to fight
He said "Come on sinner, gimme your soul !
You don't have no hope, you lonely fool !
-I'm sorry Big Red, you're not scary
Let's see if you rock better than me...
[solo]
Then the devil came back to hell
But he asked me if I was an angel
"Nope, I said, the Christ just taught me well
And you'd have learned that if you didn't rebel"
Then I heard, in his last fire
Demon's last scream of desire...
Jesus was a rock'n'roll star
I'd like him to teach me how to play guitar
But I must admit you're better than me
As little Jesus just used to be
Jesus was a rock'n'roll staaaar !
***
Allez Crazy !...
Sinon aujourd'hui j'ai fabriqué une flûte irlandaise au stage de musique celtique.
CONCERT MERCREDI 30 AVRIL AU SOIR A L'ONDE ! \o/
à 19h
lundi 28 avril 2008
dimanche 27 avril 2008
Fratas, ou le triomphe du bloggisme sur le signifiant
Qu'est-ce qui est mieux qu'un djembé man avec son tambour crevé ?
Un djembéman crevé avec son tambour.
****
C'est bien : vous prêtez votre guitare à un copain
C'est mal : il vous casse une corde
C'est pire : vous rachetez la mauvaise
C'est encore pire : vous rachetez la mauvaise trois fois de suite...
****
Il parait que je me la pète. La prochaine fois je modèrerais mon enthousiasme envers moi-même, alors. MOUHAHAHHA !
***
BWAAAAAAH !!!
***
Qu'est-ce que ça veut dire ces foutues trois étoiles, anyway ?
***
Arrête de baver pendant que tu lis, t'as une tache de salive sur la chemise maintenant...
PISTACHE !!
(3 points !)
***
Et maintenant, quelques hoedowns d'entraînement !
http://www.youtube.com/watch?v=APzmaB4a02c pour l'air
La semaine passée je suis allé à Lourdes
C'était bien sympathique malgré ma très grosse bourde
Avec des copains on parlait de Larusso
Quand l'évêque est entré j'ai crié "Grand chapeau, petit cerveau !"
_
Pour aller au Frat on s'est retrouvé à la gare
On est allé à nos places avant le départ
Et là grande déception, c'était vraiment pas bien
Il faisait sombre et humide : on était dans l'arrière (du) train.
_
Ce mec était génial, il inspirait la paix
Il aimait tout le monde, même les joueurs de djembé
Sa grande passion, c'était le death metal inhumain
Avec ses cheveux longs et ses clous sur les mains
***
GAOAOAAOAOAOAOARRGGLLL !!!
(cri de dindon)
***
Hey Jésus t'as une tache sur la jambe... PISTACHE !
Un djembéman crevé avec son tambour.
****
C'est bien : vous prêtez votre guitare à un copain
C'est mal : il vous casse une corde
C'est pire : vous rachetez la mauvaise
C'est encore pire : vous rachetez la mauvaise trois fois de suite...
****
Il parait que je me la pète. La prochaine fois je modèrerais mon enthousiasme envers moi-même, alors. MOUHAHAHHA !
***
BWAAAAAAH !!!
***
Qu'est-ce que ça veut dire ces foutues trois étoiles, anyway ?
***
Arrête de baver pendant que tu lis, t'as une tache de salive sur la chemise maintenant...
PISTACHE !!
(3 points !)
***
Et maintenant, quelques hoedowns d'entraînement !
http://www.youtube.com/watch?v=APzmaB4a02c pour l'air
La semaine passée je suis allé à Lourdes
C'était bien sympathique malgré ma très grosse bourde
Avec des copains on parlait de Larusso
Quand l'évêque est entré j'ai crié "Grand chapeau, petit cerveau !"
_
Pour aller au Frat on s'est retrouvé à la gare
On est allé à nos places avant le départ
Et là grande déception, c'était vraiment pas bien
Il faisait sombre et humide : on était dans l'arrière (du) train.
_
Ce mec était génial, il inspirait la paix
Il aimait tout le monde, même les joueurs de djembé
Sa grande passion, c'était le death metal inhumain
Avec ses cheveux longs et ses clous sur les mains
***
GAOAOAAOAOAOAOARRGGLLL !!!
(cri de dindon)
***
Hey Jésus t'as une tache sur la jambe... PISTACHE !
One day, part II
II- Où l'on rencontre un héros pas super
Le Violonier était paresseux par nature. Il passait la majorité de son temps allongé sur les toits à faire danser les rats néomontpellierains en regardant les volutes de suie qui cachaient les étoiles depuis longtemps disparues. Il gagnait son pain avec ses airs, parfois mélodieux et apaisants, parfois discordants et destructeurs. Il y avait toujours quelqu'un pour payer un guérisseur ou un assassin, et dans les deux cas il était le meilleur de la ville. On ne le cherchait pas, non. Simplement, si quelqu'un avait besoin du Violonier, il parlait à un rat, enveloppait un bout de fromage avec les termes de son marché, et un peu plus tard il pouvait éventuellement recevoir la visite d'un musicien. Parfois on lui tendait des pièges, mais le dernier à avoir essayé avait fini en saucisse vendue à la sauvette à la sortie des Abattoirs.
A New Montpellier, la musique d'un violon est comparable à celle d'un flingue, et le Violonier avait l'un et l'autre à portée de son étui.
Ce soir-là, le Violonier fut tiré de ses rêveries musicales par un mordillement. Il ouvrit un œil, puis l'autre, puis posa son instrument². Un rat gigantesque, bavant, plus agressif que les autres, essayait de manger l'humain étendu sans défense. Il avait été maîtrisé par ses congénères plus raisonnables qui savaient d'où viendrait la prochaine ration de nourriture garantie sans poison. Le musicien chantonna deux ou trois mesures pour apaiser la petite brute, puis lui caressa le haut de la tête, entre les oreilles. Elle couina. Le musicien avait appris depuis longtemps le langage des rongeurs, mais celui-ci venait de toute évidence d'un endroit lointain et s'exprimait avec un accent difficile à déchiffrer.
"IIIIK iik iik IIIKK gnip gnip IIK ik iiik !- Pardon ? Un scientifique fou t'as injecté une toxine qui a réorganisé ton AD et a attisé ton instinct violent tout en décuplant ton intelligence ? Tu l'as surpris dans ses plans d'essais sur des moutons ? C'est lui la cause des hurlements des dernières nuits, et des cadavres de prostituées qu'on a retrouvées atrocement mordues par des petites dents acérées ?
- Iiiik !
- Non, je suis désolé, c'est pas vraiment une affaire pour moi. C'est plutôt à la police de s'en occuper, et je préférerais jouer avec le diable encore une fois qu'aller voir ces fumiers pour leur offrir des informations. Qu'ils se débrouillent, avec leur technologie..."
A ce moment précis, la ville explosa.
² Oui, il pouvait jouer en dormant. C'est un tour qu'il avait appris d'un maître indien : le truc, c'est de pas vraiment dormir, mais de rester en permanence à la lisière de la conscience, ce qui permet de jouer sa propre berceuse.
Le Violonier était paresseux par nature. Il passait la majorité de son temps allongé sur les toits à faire danser les rats néomontpellierains en regardant les volutes de suie qui cachaient les étoiles depuis longtemps disparues. Il gagnait son pain avec ses airs, parfois mélodieux et apaisants, parfois discordants et destructeurs. Il y avait toujours quelqu'un pour payer un guérisseur ou un assassin, et dans les deux cas il était le meilleur de la ville. On ne le cherchait pas, non. Simplement, si quelqu'un avait besoin du Violonier, il parlait à un rat, enveloppait un bout de fromage avec les termes de son marché, et un peu plus tard il pouvait éventuellement recevoir la visite d'un musicien. Parfois on lui tendait des pièges, mais le dernier à avoir essayé avait fini en saucisse vendue à la sauvette à la sortie des Abattoirs.
A New Montpellier, la musique d'un violon est comparable à celle d'un flingue, et le Violonier avait l'un et l'autre à portée de son étui.
Ce soir-là, le Violonier fut tiré de ses rêveries musicales par un mordillement. Il ouvrit un œil, puis l'autre, puis posa son instrument². Un rat gigantesque, bavant, plus agressif que les autres, essayait de manger l'humain étendu sans défense. Il avait été maîtrisé par ses congénères plus raisonnables qui savaient d'où viendrait la prochaine ration de nourriture garantie sans poison. Le musicien chantonna deux ou trois mesures pour apaiser la petite brute, puis lui caressa le haut de la tête, entre les oreilles. Elle couina. Le musicien avait appris depuis longtemps le langage des rongeurs, mais celui-ci venait de toute évidence d'un endroit lointain et s'exprimait avec un accent difficile à déchiffrer.
"IIIIK iik iik IIIKK gnip gnip IIK ik iiik !- Pardon ? Un scientifique fou t'as injecté une toxine qui a réorganisé ton AD et a attisé ton instinct violent tout en décuplant ton intelligence ? Tu l'as surpris dans ses plans d'essais sur des moutons ? C'est lui la cause des hurlements des dernières nuits, et des cadavres de prostituées qu'on a retrouvées atrocement mordues par des petites dents acérées ?
- Iiiik !
- Non, je suis désolé, c'est pas vraiment une affaire pour moi. C'est plutôt à la police de s'en occuper, et je préférerais jouer avec le diable encore une fois qu'aller voir ces fumiers pour leur offrir des informations. Qu'ils se débrouillent, avec leur technologie..."
A ce moment précis, la ville explosa.
² Oui, il pouvait jouer en dormant. C'est un tour qu'il avait appris d'un maître indien : le truc, c'est de pas vraiment dormir, mais de rester en permanence à la lisière de la conscience, ce qui permet de jouer sa propre berceuse.
mardi 22 avril 2008
One day, part I
I- Où se met en place la catastrophe
Un jour, alors que la pluie acide de New Montpellier dessinait ses labyrinthes toxiques sur les fenêtres du Laboratoire Génétique, le professeur Strayton Psykaw mit fin à ses expériences. Ses dernières recherches s'étaient avérées concluantes, et il avait, sans trop savoir pourquoi, suivi la piste de ses découvertes jusqu'à aboutir par surprise, presque par erreur, au traitement suprême. Le rêve de tout scientifique, et de l'humanité entière. La panacée universelle. Le remède à toute maladie. C'était en tout cas ce qu'il lui semblait...
Le Dr Psykaw était prudent, et rigoureux. Il avait certes annoncé à certains de ses proches qu'il pensait que ses recherches pouvaient le mener vers quelque chose d'important, mais jamais en détail, sans aucune affirmation. C'était un homme qui affirmait peu. Il était finalement tombé dessus ; il devait l'essayer. Oh, sur les bactéries et les cellules de ses cultures, ça marchait, sur ses mouches également, elles évacuaient un virus en quelques minutes, et pouvaient même régénérer un membre arraché en quelques heures. Mais sur les mammifères... La souris qu'il avait inoculé avait disparu, il avait dû mal refermer sa cage, et maintenant il était à court de cobaye. Heureusement que son frère qui travaillait au Grand Abattoir avait pu détourner un troupeau de moutons pour lui. Strayton ne savait pas bien comment la viande avait été remplacée, mais il évitait désormais tout rapport avec son boucher. On disait que la Pentamafia avait des parts dans l'Abattoir.
Le généticien se retrouvait donc dans le sous-sol du laboratoire, loin de ses confrères et de leurs questions incisives, pour finaliser ses recherches avant de les révéler au monde médusé qui voudrait alors lui offrir gloire, fortune et femmes. Il ne lui restait qu'à inoculer ses moutons, puis il essaierait sur lui-même, et une fois certain de l'effet de son remède, il pourrait sans crainte le présenter au Congrès National des GénoFirmes et attendre son prix Nobel. Il sortit sa seringue. Il n'y avait aucune raison pour qu'il y eût des effets secondaires néfastes sur les mammifères, et encore moins sur lui. Et en effet, il n'y eût pas d'effet secondaire. Pendant environ 3 minutes.
Puis les rues sombres de New Montpellier résonnèrent de bêlements féroces annonçant la tuerie, et de cris évoquants autant un être humain à l'agonie qu'un dragon furieux des temps anciens.
Rien que de très habituel, dans la cité de la folie.
Un jour, alors que la pluie acide de New Montpellier dessinait ses labyrinthes toxiques sur les fenêtres du Laboratoire Génétique, le professeur Strayton Psykaw mit fin à ses expériences. Ses dernières recherches s'étaient avérées concluantes, et il avait, sans trop savoir pourquoi, suivi la piste de ses découvertes jusqu'à aboutir par surprise, presque par erreur, au traitement suprême. Le rêve de tout scientifique, et de l'humanité entière. La panacée universelle. Le remède à toute maladie. C'était en tout cas ce qu'il lui semblait...
Le Dr Psykaw était prudent, et rigoureux. Il avait certes annoncé à certains de ses proches qu'il pensait que ses recherches pouvaient le mener vers quelque chose d'important, mais jamais en détail, sans aucune affirmation. C'était un homme qui affirmait peu. Il était finalement tombé dessus ; il devait l'essayer. Oh, sur les bactéries et les cellules de ses cultures, ça marchait, sur ses mouches également, elles évacuaient un virus en quelques minutes, et pouvaient même régénérer un membre arraché en quelques heures. Mais sur les mammifères... La souris qu'il avait inoculé avait disparu, il avait dû mal refermer sa cage, et maintenant il était à court de cobaye. Heureusement que son frère qui travaillait au Grand Abattoir avait pu détourner un troupeau de moutons pour lui. Strayton ne savait pas bien comment la viande avait été remplacée, mais il évitait désormais tout rapport avec son boucher. On disait que la Pentamafia avait des parts dans l'Abattoir.
Le généticien se retrouvait donc dans le sous-sol du laboratoire, loin de ses confrères et de leurs questions incisives, pour finaliser ses recherches avant de les révéler au monde médusé qui voudrait alors lui offrir gloire, fortune et femmes. Il ne lui restait qu'à inoculer ses moutons, puis il essaierait sur lui-même, et une fois certain de l'effet de son remède, il pourrait sans crainte le présenter au Congrès National des GénoFirmes et attendre son prix Nobel. Il sortit sa seringue. Il n'y avait aucune raison pour qu'il y eût des effets secondaires néfastes sur les mammifères, et encore moins sur lui. Et en effet, il n'y eût pas d'effet secondaire. Pendant environ 3 minutes.
Puis les rues sombres de New Montpellier résonnèrent de bêlements féroces annonçant la tuerie, et de cris évoquants autant un être humain à l'agonie qu'un dragon furieux des temps anciens.
Rien que de très habituel, dans la cité de la folie.
Fnord
Fnord est ce que vous savez avoir oublié, sans savoir quoi exactement.
****
Tout le monde connait Superman, mais peu connaissent sa fille de 2 mois, Supérette, qui a déjà appris à super-marcher, tandis que le Bruce Wayne Jr. de 3 ans a appris à jouer au base-ball avec son père et sait désormais bien manier sa batbatte.
****
Ok désolé.
****
Tout le monde connait Superman, mais peu connaissent sa fille de 2 mois, Supérette, qui a déjà appris à super-marcher, tandis que le Bruce Wayne Jr. de 3 ans a appris à jouer au base-ball avec son père et sait désormais bien manier sa batbatte.
****
Ok désolé.
vendredi 18 avril 2008
Kevin le guitariste solitaire
Kevin, pardonnez-lui, a une vie compliquée
Ses parents veulent le tuer, il déteste le lycée
Sa grand-mère est malade et sa copine l'a plaqué
Mais il a toujours chez lui de quoi le réconforter...
Kevin
Passe ses soirées
A s'entraîner
Sur son manche de guitare
A jouer
Des solos endiablés
Jusqu'à très tard le soir
Kevin.
Kevin aime faire courir ses doigts
Le long des noeuds du bois
D'ailleurs il n'y a qu'à ces instants qu'il est vraiment content
Quand il fait jaillir ses notes de son intrument.
[refrain]
Kevin est un musicien dans l'âme
Pour lui sa guitare vaut mieux que toutes les femmes
Elle est son amie toujours à ses côtés
Toujours là pour remplir ses nuits agitées.
[refrain]
******
Mouahahah 2.
Ses parents veulent le tuer, il déteste le lycée
Sa grand-mère est malade et sa copine l'a plaqué
Mais il a toujours chez lui de quoi le réconforter...
Kevin
Passe ses soirées
A s'entraîner
Sur son manche de guitare
A jouer
Des solos endiablés
Jusqu'à très tard le soir
Kevin.
Kevin aime faire courir ses doigts
Le long des noeuds du bois
D'ailleurs il n'y a qu'à ces instants qu'il est vraiment content
Quand il fait jaillir ses notes de son intrument.
[refrain]
Kevin est un musicien dans l'âme
Pour lui sa guitare vaut mieux que toutes les femmes
Elle est son amie toujours à ses côtés
Toujours là pour remplir ses nuits agitées.
[refrain]
******
Mouahahah 2.
Arnaud le surfeur nocturne
Seul, silencieux, face au soleil couchant
Il attend les sirènes, leur sourire et leur chant,
Il regarde l'horizon et il attend.
Ces soirées solitaires sont un rêve d'enfant.
Sur la plage à ses pieds, une à une les vagues s'ébranlent
Mais Arnaud est sourd lorsqu'il... wax sa planche de surf.
Les étoiles brillent au-dessus de sa tête
Il sait que le ressac jamais ne s'arrête
Et dans la nuit qui s'étend tout autour de lui
Il pense aux sirènes qui ne sont pas venus aujourd'hui.
Ay ay ay ay ! Sur le sable noir
Arnaud wax sa planche, loin de tout regard
[Solo du guitariste]
Il ne finit sa tâche qu'au petit matin
Il a mal au poignet, mais ne regrette rien
Sa planche est brillante dans le jour qui revient
Il range ses affaires pour revenir demain.
Rendez-vous sur cette plage et vous verrez
Un surfeur esseulé tranquillement waxer.
******
Ahaha Crazy Oysters rule !
Il attend les sirènes, leur sourire et leur chant,
Il regarde l'horizon et il attend.
Ces soirées solitaires sont un rêve d'enfant.
Sur la plage à ses pieds, une à une les vagues s'ébranlent
Mais Arnaud est sourd lorsqu'il... wax sa planche de surf.
Les étoiles brillent au-dessus de sa tête
Il sait que le ressac jamais ne s'arrête
Et dans la nuit qui s'étend tout autour de lui
Il pense aux sirènes qui ne sont pas venus aujourd'hui.
Ay ay ay ay ! Sur le sable noir
Arnaud wax sa planche, loin de tout regard
[Solo du guitariste]
Il ne finit sa tâche qu'au petit matin
Il a mal au poignet, mais ne regrette rien
Sa planche est brillante dans le jour qui revient
Il range ses affaires pour revenir demain.
Rendez-vous sur cette plage et vous verrez
Un surfeur esseulé tranquillement waxer.
******
Ahaha Crazy Oysters rule !
mercredi 16 avril 2008
Death metal acoustique violon
MOUHAHAHA !
*grrrruunttt*
Bon sinon samedi casting crazy. Et à midi en cours d'honneur, session acoustique avec la gratte de Jy-Miung, bénis soient ses blinis. On a eu un peu de public, et même des filles, et mêmes des jolies ! \o/
A nous la gloire et la fortune !
dimanche 13 avril 2008
If you know what I mean Olympics lyrics
Cette note serait plus à sa place auprès de celle-ci : http://canardduchaos.blogspot.com/2008/04/whose-line-if-you-know-what-i-mean.html
Mais bon, on fait ce qu'on peut, je l'antidaterai à la prochaine note.
Bon, à moi la transcription de la vidéo... Locker Room, avec Ryan Stiles (aaah!), Colin Mochrie et Brad Sherwood.
Brad : So, did you see that female pollvolter ? (ho ho ho) I'd like to pass her the baton if you know what i mean.
Colin : I was too busy waxing my javeline if you know what i mean.
Ryan : [Shortputs ?]
Brad : I got a score of eight from the Russian judge, if you know what i mean ! (Woo)
Brad : So I saw you were hum... not quite running in your lane today, if you know what i mean.
Ryan : Well I like to hop, skip & jump occasionnaly, if you know what i mean.
Colin : Hey...
Brad : I know what you mean !
Colin : You know what i mean ? (yeah) I didn't want to say it.
Ryan : I don't want to do any move on your pommel horse, if you know what i'm saying.
Colin : Hey come on ! Come on ! Don't make me choke my hands, if you know what i mean.
Brad : I know that you bother me [?], but I'd like to tumble on somebody's mat, if you know what i'm saying.
Ryan : I'd give that a nine, if you know what i mean.
Brad : I've got a nine, if you know what i mean.
...
Colin : I've been having trouble, I've been... disqualified for an early start, if you know what i mean.
Ryan : Why don't you just clean & jerk, if you know what i mean ?
Brad : Nothing better than a 200 pounds snatch, if you know what i mean.
...
Ryan : That's never gonna make it the air, if you know what i mean.
...
Aha c'est beaucoup plus marrant quand on comprend, en fait ^^ Sinon, pour les différentes disciplines sportives, une simple recherche Google Images expliquera tout ça mieux que moi. Et snatch is a slang word for vagina.
Bon, je vais réviser ma SVT, si tu vois ce que je veux dire.
Mais bon, on fait ce qu'on peut, je l'antidaterai à la prochaine note.
Bon, à moi la transcription de la vidéo... Locker Room, avec Ryan Stiles (aaah!), Colin Mochrie et Brad Sherwood.
Brad : So, did you see that female pollvolter ? (ho ho ho) I'd like to pass her the baton if you know what i mean.
Colin : I was too busy waxing my javeline if you know what i mean.
Ryan : [Shortputs ?]
Brad : I got a score of eight from the Russian judge, if you know what i mean ! (Woo)
Brad : So I saw you were hum... not quite running in your lane today, if you know what i mean.
Ryan : Well I like to hop, skip & jump occasionnaly, if you know what i mean.
Colin : Hey...
Brad : I know what you mean !
Colin : You know what i mean ? (yeah) I didn't want to say it.
Ryan : I don't want to do any move on your pommel horse, if you know what i'm saying.
Colin : Hey come on ! Come on ! Don't make me choke my hands, if you know what i mean.
Brad : I know that you bother me [?], but I'd like to tumble on somebody's mat, if you know what i'm saying.
Ryan : I'd give that a nine, if you know what i mean.
Brad : I've got a nine, if you know what i mean.
...
Colin : I've been having trouble, I've been... disqualified for an early start, if you know what i mean.
Ryan : Why don't you just clean & jerk, if you know what i mean ?
Brad : Nothing better than a 200 pounds snatch, if you know what i mean.
...
Ryan : That's never gonna make it the air, if you know what i mean.
...
Aha c'est beaucoup plus marrant quand on comprend, en fait ^^ Sinon, pour les différentes disciplines sportives, une simple recherche Google Images expliquera tout ça mieux que moi. Et snatch is a slang word for vagina.
Bon, je vais réviser ma SVT, si tu vois ce que je veux dire.
Cabaret du 11 avril, 3615 MyLife
Cabaret d'impro vendredi soir, où ont joué Robin et votre humble serviteur (entre autres).
Aha, Vélizy, 8€ l'entrée, donc personne à inviter. Mais la petite salle donne une atmosphère intimiste du plus bel effet, malgré une lumière rouge improbable.
La soirée débute par une démo de danse urbaine, dont deux jolies filles copines de copain que j'ai retrouvées par hasard, ahaha i'm a rock star. Plutôt sympathique, original, et surtout moins d'une demi-heure en comptant les différents groupes. Puis arrive le groupe de rap Anonymat...
Un grand Noir et un maigre qui doit avoir du sang arabe commencent à placer des mots inaudibles sur une musique à base de "poum-pah" trop forte, d'où baisse de charisme général. Apparemment ils disent que la guerre c'est mal, que la vie c'est beau malgré les malheurs et qu'il faut garder sa fierté dans ce monde brutal. J'avoue j'ai pas tout écouté, mais c'était looong... presqu'autant que le post que je suis en train de pondre. Ils sont peut-être même doués, derrière les basses à fond. Un fan du groupe nous a reconnu (avec Robin) en tant que comédien d'impro, ça c'est la classe =) Et pendant ce temps, dans les loges, j'accumule de l'énergie, du trac que je peux pas dépenser, et je tape dans un mur.
Arrive l'entracte, le public se disperse et revient en nombre moindre =/
Enfin on monte sur scène.
Cinq comédiens : une femme rousse frisée, deux hommes et deux jeunes... on se relaie à l'arbitrage, en mode artisanal.
Les impro proprement dites (celles dont je me souviens, en fait), et quelques personnages, dans le plus grand désordre :
Aha, Vélizy, 8€ l'entrée, donc personne à inviter. Mais la petite salle donne une atmosphère intimiste du plus bel effet, malgré une lumière rouge improbable.
La soirée débute par une démo de danse urbaine, dont deux jolies filles copines de copain que j'ai retrouvées par hasard, ahaha i'm a rock star. Plutôt sympathique, original, et surtout moins d'une demi-heure en comptant les différents groupes. Puis arrive le groupe de rap Anonymat...
Un grand Noir et un maigre qui doit avoir du sang arabe commencent à placer des mots inaudibles sur une musique à base de "poum-pah" trop forte, d'où baisse de charisme général. Apparemment ils disent que la guerre c'est mal, que la vie c'est beau malgré les malheurs et qu'il faut garder sa fierté dans ce monde brutal. J'avoue j'ai pas tout écouté, mais c'était looong... presqu'autant que le post que je suis en train de pondre. Ils sont peut-être même doués, derrière les basses à fond. Un fan du groupe nous a reconnu (avec Robin) en tant que comédien d'impro, ça c'est la classe =) Et pendant ce temps, dans les loges, j'accumule de l'énergie, du trac que je peux pas dépenser, et je tape dans un mur.
Arrive l'entracte, le public se disperse et revient en nombre moindre =/
Enfin on monte sur scène.
Cinq comédiens : une femme rousse frisée, deux hommes et deux jeunes... on se relaie à l'arbitrage, en mode artisanal.
Les impro proprement dites (celles dont je me souviens, en fait), et quelques personnages, dans le plus grand désordre :
- Bébés d'amour : un gars louche à la sortie d'une école, un membre de la Brigade de Sauvegarde de l'Enfance, et deux enfants, qui s'avèrent être ceux du gars louche.
- Bravo : bande-annonce de film, je me mets en voix-off pour un film d'aventure dans la jungle amazonienne à la recherche de la statuette des Bravos-Bravos, où on voit de l'amour de l'action mais aussi la formidable faune de cette région méconnue.
- Callypige : sitcom. Deux filles (jouées par des mecs), un miroir, Brandon (joué par la fille).
- Casse-gueule : un mec à la tronche cassée entre dans des montagnes russes pour se faire réparer. "Deux tours, dix-huit loopings, et même une surprise !" dit la pub. Après des loopings qui rendaient bien sur scène, l'arbitre arrive, punche le client en criant "La surprise !" et sonne la fin de l'impro.
- La Mère : capes et épées. Un chevalier est envoyé tuer un dragon par sa moman. Il rencontre son mentor, sa mamie, la dragon, et tue la bête en lui lançant la grand-mère puis en égorgeant l'ennemi par derrière pendant qu'il se bat contre le maître d'armes. Mouahahah.
- Soleil : rimée, j'avais dit que j'étais chaud. Le soleil a disparu, mais en fait, me dit Thierry finement, non pas du tout, il y en a trois (les trois spots de lumière). Puis il finit son vers par "...Aveugle"... alors je parle du royaume où fleurissent les épagneuls. J'aime les rimées.
- Il fait beau sous la pluie : poétique. Florence nous offre une ode sur offrir son corps à la nature, arrive Thierry qui est apparemment plutôt de nature à s'offrir son corps. Ah, poésie quand tu nous tiens !
- La Pensée est vide (la pensée était vide) : je suis le premier explorateur du cerveau d'une blonde ! ^^
- Public : on invite Noëlle du public à monter sur scène pour prendre une position qui nous permettra de jouer avec elle. Mes interventions : par derrière, assis avec elle sur mes genoux "alors, qu'est-ce que tu veux que je mettes sous ton sapin ?..." / derrière elle caché, le bras qui passe devant et le doigt tendu :"Maaaaisooon..."/ A côté d'elle, immobile également "Hey mais c'est super cette danse, t'as qu'à la nommer l'AntiTektonik !"
- Bon Appétit : Abécédaire (chaque réplique commence par la lettre de l'alphabet suivant la première lettre de la réplique précédente, de A à Z), Robin s'y colle avec Thierry. "Rachid il me dit toujours Bon Appétit !", "Yes ! / -... ... ... Excellent !..."
- Ballet aérien : Florence est sur un fil au-dessus du sol, équilibriste. Puis j'arrive en poulet géant et me pose sur le fil, puis à son bras, puis un autre poulet arrive. "Côôôt !"
- Ecole : dégressive (la même impro de 3min rejouée en 1min, puis 30 sec, puis 10 sec). Ratée. Camp de redressement pour personnages dans le type Cailleras.
- Mika "Relax", lu par l'arbitre en "Mika Relay" : je cours autour d'un stade seul et donne le relais à un partenaire invisible, faute de comédien pour se bouger et jouer avec moi, puis le propriétaire du stade vient me faire des remontrances, et je réponds avec une voix aigüe. J'ai pas eu le temps de placer "Je ne cours pas toujours sur une seule ligne, si tu vois ce que je veux dire".
- Demain : Western, un cowboy ambidextre qui retrouve le meurtrier de son ami. En tant qu'arbitre, je joue les utilités (l'ami pendu qui pousse le cowboy à provoquer un duel) mais j'arrive pas à leur faire jouer la musique du Colt =/ Donc aucun mort, ni aucun coup de feu, pour un western...
- Foulure : Libre-Service. La charmante demoiselle qui a proposé le thème a dû choisir entre quatre débuts d'histoire et a choisi la mienne ! "Fais moi confiance, tu peux reculer, y'a aucune fillette sur le passage de ton camion !" eh... bah en fait si. Où l'on a vu une fracture ouverte, un tirage de rotule, un chirurgien à la clé à molette, un enfant mort et une fuite en camion. J'ai bien bien aimé =)
- Bonne Soirée : on demande à un barbu dans le public de donner un thème, et un chauve nous lance "faites la chantée !". Donc, chantée. J'entame un hoedown (raté, j'ai pas trouvé de rime marrante), on voit un fantôme, on fait du rap, je fais rimer Anonymat avec Pizza, et on fini sur une polyphonie avec Robin. C'était beau.
Et voilà, compte-rendu terminé de mon premier cabaret d'improvisation à moins de huit comédiens, ce qui a permis une meilleure écoute et de jouer sans ma prof !
Ah oui, et c'était le jour de l'anniversaire d'Auréline. Majeure aussi !
jeudi 10 avril 2008
Whose Line: If You Know What I Mean-Olympics
"Je t'ai vu courir en-dehors de ta piste aujourd'hui, si tu vois ce que je veux dire.
-On a tous des occasions pour sauter les haies de temps en temps, si tu vois ce que je veux dire."
Mouhahaha. Enfin un humour subtil et ravageur \o/
Ah, et Whose Line Is It Anyway c'est une émission (d'abord anglaise puis américaine) d'improvisation en différé, et c'est marrant.
dimanche 6 avril 2008
Je suis niveau 2, talata tadam !
Avant, c'était :
Mais depuis le 6 avril, DIGIVOLUTION !!
Allez, pour la peine, hommage à Boris Vian.mercredi 2 avril 2008
Nouvelle Star et Trolls finnois
Philippe Manoeuvre est content que le rock puisse passer en prime-time.
...
http://www.100pour100finlande.fr/-Blog-.html?id_mot=12
Vive la Finlande.
Parce qu'en plus, http://www.100pour100finlande.fr/Moomin-de-Tove-et-Lars-Jansonn.html
Surtout, recherche image google "finlandaise"... hum, http://www.ebookers.fr/afo/flights/step2.html?AFOEXPAND=SK:119.47&SID=R-POXQrfNG0AACwKz9w ?
Eh Roger, t'as pas 119€ là sur toi ? C'est pour, euh... un paquet de clopes !
...
http://www.100pour100finlande.fr/-Blog-.html?id_mot=12
Vive la Finlande.
Parce qu'en plus, http://www.100pour100finlande.fr/Moomin-de-Tove-et-Lars-Jansonn.html
Surtout, recherche image google "finlandaise"... hum, http://www.ebookers.fr/afo/flights/step2.html?AFOEXPAND=SK:119.47&SID=R-POXQrfNG0AACwKz9w ?
Eh Roger, t'as pas 119€ là sur toi ? C'est pour, euh... un paquet de clopes !
Message n° 50, où l'on notéclaire.
Note-éclair :
Se retrouver entre un garçon de trois ans et sa maman à attendre l'ascenseur, avec dans les oreilles la musique d'Il Etait Une Fois dans l'Ouest, ça fait un étrange mexican-standoff.
Linmark, Truand.
Se retrouver entre un garçon de trois ans et sa maman à attendre l'ascenseur, avec dans les oreilles la musique d'Il Etait Une Fois dans l'Ouest, ça fait un étrange mexican-standoff.
Linmark, Truand.
Inscription à :
Articles (Atom)