mercredi 20 février 2008

Poème niais


Depuis que je t'ai vue
Mon cœur ne bat plus
Que pour toi, ma jolie,
Tu es le luth étoilé de ma vie.

Je serais ton Valentin,
Ton Cyr ou ton Glinglin,
Grâce à toi mon amour
Rime avec toujours.

Tes yeux sont les deux ailes d'un papillon d'été,
Et tout l'alcool du monde ne saurait m'enivrer
Comme le parfum de fleurs qui embaume ta peau.
Tes lèvres de carmin sont mon plus beau cadeau.

Etre à tes côtés est toujours une joie
Honneur et privilège de t'avoir près de moi
J'ai la main dans ta main, tout le monde m'envie
Et les oiseaux chantent et mon âme sourit.

Ma riante princesse, ma chère et tendre Agnès
Toutes mes journées je ne pense qu'à tes cheveux.

Valérian.
****


Explications : Valérian et Agnès sortent ensemble, et le journal publiait les déclarations de Saint Valentin.
Donc, ahaha, je vais envoyer un truc niais au nom du monsieur (la demoiselle est une amie, d'ailleurs elle m'adore), ça va être comique !
Bilan : en fait, nan. La niaiserie a pas assez détonné. Restent les deux dernières lignes qui sont lolantes.

1 commentaire:

Geraldine a dit…

on ne dit pas lolant mais lolifiant.
Ya personne au bureau alors zut.